jeudi 25 mars 2010

Mon projet pour l'humanité en 2010


Qu'ils aillent un peu, beaucoup ou énormément d’importance, tous les problèmes ont besoin d’une solution. C’est impossible qu’une situation qui ne fonctionne pas ne se détériore pas, si rien de se règle. Nous vivons dans une société de surconsommation. En tant que conseillère à l’organisation des Nations Unies, j’ai le désir ardent que les choses changent.


La première chose à faire est, je crois, de définir ce qu’est la surconsommation. Il y a plusieurs aspects à celle-ci. On pourrait parler par exemple des «fast food», ces restaurants où on débourse un prix moindre, pour avoir un aliment de qualité douteuse et à une vitesse dépassant l’entendement. Pourquoi allons-nous dans ces endroits? Consommer. Et ceux qui y vont trop souvent, risquent de devenir obèses. Surconsommer. Ensuite, la plupart des aliments et des objets que nous achetons sont emballés avec du plastique. Trop. Une des problématiques à cela, est que ça pollue. Nous envoyons la majorité de nos déchets dans des sites d’enfouissement, où ils n’ont pas leur place. Les jouets par exemple. Les enfants de nos jours en demandent toujours plus. Ce n’est pas pour rien que cette génération s’appelle «les enfants-rois». C’est l’attrait de la nouveauté. Les adultes ne sont pas en reste avec la technologie. Il faut absolument s’acheter le tout nouveau téléphone cellulaire et ce, même si celui que l’on possède présentement fonctionne très bien. C’est ridicule. Il faut dire qu’on nous mitraille de publicité.


Ce serait une solution envisageable selon moi, d’éliminer ou de diminuer la quantité excessive d’annonces publicitaires. Peut-être que ça inciterait moins les gens à dépenser sans compter. Dans le fond, c’est ça le réel problème. Surtout qu’il n’existe que dans les pays industrialisés, dits riches. Pourquoi ne pas redistribuer toute cette fameuse richesse? On dit qu’en Afrique il y a 1 ordinateur pour 1000 habitants alors qu’ici, on en a entre 1 et 5. Une autre solution pourrait aussi être d’augmenter les tarifs sur tout. Donc, on se limiterait. Par contre, je pense qu’il faut que tout le monde se concentre davantage personnellement pour réussir.


J’espère que mon souhait se réalisera et qu’un jour, nous pourrons dire que la surconsommation n’existe plus.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire